Dans le vidéo ''C'est la vie'', on peut trouver beaucoup de stéréotypes:
le style de la femme fatale: la protagoniste est toujours bien habillée, parfumée et elle a la pêche. Elle aime rester en forme (elle va souvent à la salle de sport), parce que pour elle l'apparence est fondamentale.
amour pour la danse: puisque la France est depuis toujours le Pays de la danse, Henriette fait du burlesque, du cabaret et du ballet, en portant des pointes, un tutu en tulle et en faisant un chignon. Sur son table de nuit, il y a aussi une petite statuette, qui représent une danseuse.
la haute couture: la France est connue dans le monde entier comme le Pays de la mode. Donc, Henriette, comme toutes les femmes françaises, aime faire du shopping chez les plus belles boutiques de sa ville.
nouvelle cousine: en France, on peut trouver la nouvelle cuisine, c'est à dire une cuisine dans laquelle on sert des repas nobles et très prisés. En effet, Henriette mange toujours dans des restaurants ou des bistrots très célèbres.
l'art: la France est très connue pour ses artistes et leurs oeuvres. En France, on trouve les musées les plus célèbres du monde. Henriette visite le vernissage d'un atelier et admire les tableaux des nombreux artistes, réalisés en utilisant le trompe-l'oeil.
(Matilde Muschetti, Maria Torlopova, Federica Capuano, Naomi Campailla)
Notre groupe a choisi une chanson où on peut trouver beaucoup de stéréotypes de la "femme française". Le titre de la chanson est : " Je ne veux pas travailler" et il est lui même un stéréotype parce que la prémiere idée que nous avons de la femme français est qu'elle ne veut pas travailler. Le titre est symbolique parce que si nous écoutons la chanson nous comprenons que la femme ne veut ni travailler ni manger à cause d'une peine d'amour. Cette affirmation est un autre stéréotype de la femme française: une femme fatale, romantique qui souffre pour amour. Nous pouvons comprendre qu'elle est una femme fatale grâce à une métaphore : "Déjà j’ai connu le parfum de l’amour /Un millions de roses / N’embaumeraient pas autant .../
La femme de la chanson veut seulement oublier et fumer. Je pense que tous les éléments de cette chanson donnent une image d'une femme superficielle,passionelle qui pense seulement à l'amour et considère que tous les autres aspects de la vie ne sont pas importants, comme se nourrir, qui est la chose la plus importante pour vivre. Ce stéréotype est très diffusé entre les individus. Quand nous pensons à quelque chose nous avons une image dans notre tête, probablement la plupart des personnes pense à les femme françaises comme des femmes qui pensent à la mode, à la beauté, à l'amour etc.
Je pense que ce stéréotype n'est pas plus vrai aujourd'hui mais il est plus lié au contexte passé, celui de la belle époque où les principes fondamentaux étaient: liberté, beauté, amour et verité. Le film "Moulin Rouge" montre comme étaient les femmes pendant celle époque et tous leurs stéréotypes.
Pour décrire la femme française d'aujourd'hui, nous avons choisi une chanson qui s'appelle
"Je ne veux pas travailler."
Cette chanson a été écrite par le groupe américain "Pink Martini" et elle figure dans leur
album "Sympathique" (1997).
Le groupe s'est inspiré du poème d'Apollinaire, intitulé "Hôtel" (1913):
"Ma chambre a la forme d’une cage,
Le soleil passe son bras par la fenêtre.
Mais moi qui veux fumer pour faire des mirages
J’allume au feu du jour ma cigarette.
Je ne veux pas travailler — je veux fumer."
La chanteuse décrit sa chambre comme une cage et dit qu'elle a beaucoup de soupirants,
("..les chasseurs à ma porte /comme les petits soldats / qui veulent me prendre..") ,
nous donnant l'idée de femme fatale, belle et desirée par tout le monde.
Dans le refrain (Je ne veux pas travailler / je ne veux pas déjeuner / je veux seulement
oublier / et puis je fume), le groupe nous présente l'idée stéréotypée de la femme française
qui n'a pas d'envie de travailler ou de faire quelque chose dans la vie, au-delà de fumer.
Pourquoi avons- nous cette image de la femme française?
Plusieurs fois, quand on pense à la France et aux femmes qui y vivent, on pense à des filles
jolies, chics, élégants, à la mode et qui pensent seulement à l'apparence.
Les femmes françaises sont aussi présentées comme des filles
romantiques, qui passent
leur temps à penser à l'amour (..Déjà j'ai connu le parfum de
l'amour / un million de
roses/ n'embaumeraient pas autant / maintenant une seule
fleur / dans mes entourages /
me rend malade..); en outre, cette femme est aussi décrite comme une fille snob, parce qu'ell dit: "..c'est magnifique / être sympathique / mais je ne le connais jamais.." , à démontrer qu'elle est consciente de représenter le stéréotype de la femme française.
À mon avis, cette chanson exagère l'image qu'on a de la femme française, s'inspirant à
la représentation de la femme de la belle époque et sans réfléchir à la manière dont elle vit
aujourd'hui et les changements que la femme française, ainsi que la femme italienne,
Come
ogni mattina, al dolce suono del carillon Henriette si sveglia e accende l'abat-jour,apre
la finestra che dà sul parterre, si infila il bustier, le culotte, i collants e si lega i capelli in
uno chignon, con un foulard.
Per
non restare in déshabillé, sopra la lingerie indossa un tailleur beige, e in una nuvola di eau de toilette sceglie
tra i bijoux una parure con collier, che le mette in risalto il décolleté.
Dopo
aver dato il gourmet al suo bichon frisé, Henriette tira fuori dal garage la coupé - cabriolet, per recarsi
alla boutique di una griffe à la page, quando en passant, uno strano déjà -vu , le fa imboccare un cul de sac.
Arrivata alla boutique, Henriette compra un tutu di tulle con pailettes e inserti
in lamé, e fa colazione con dei beignets, un croissant e una crêpe, prima di recarsi a uno
spettacolo di ballo burlesque e cabaret. Si prepara all'ouverture indossando il tutu, e di fronte
al pubblico si esibisce in una réverénce, un plié e un arabesque, mah mon dieu! Henriette non ha il physique du rôleper essere un' étoile, e la sua première diventa un exploit di gaffes.
Per
riprendersi dalla bruciante défaillance come soubrette, Henriette si concede un pranzo in un
bistrot, dove mangia una baguette, delle omelettes al gratin con champignons flambés e per dessert, un profiterole e della crème brûlée, accompagnata da una flûte de champagne, offerta da un somelier col papillon.
Sfoggiando
charme e nonchalance, Henriette si allontana senza pagare il conto con lo spirito da vera bohémienne . Si reca quindi allo chalet, dove con il suo savoir faire esercita la professione di cocotte, e il concierge la accompagna in una suite, per un rendez-vous con un noto viveur con il toupet,
amante di bondage, che le propone un ménage à trois con un clochard. Ma il povero clochard non può
permettersi il cachet di Henriette, e si deve accontentare di toglierle una guêpière,
prima di fare ritorno alla roulotte senza aver soddisfatto le proprie fantasie di voyeur.
Dopo
il tour de force con il viveur, Henriette porta i soldi nel caveau, e fa tappa in palestra per cyclette e tapis roulant . Indossa una camicia di chiffon con volants, una longuette bordeau à pois con plissés, e sceglie una pochette in pendant con la longuette, per prapararsi a untête-a-tête con un gigolo, con cui ha un affaire.
Lui,
astuto tombeur de femmes, che lavora come croupier alla roulette del casino,d'emblée, le da forfet. Per
superare l'ennesima débacle, Henriette, fa visita al vernissage di un atelier, dove ammira i
quadri in trompe l'œil, dipinti en plein air, si concede una manicure, e indossato un gilet di lapin , si
reca a una degustazione di nouvelle cuisine, dove riesce a entrare grazie a un passe-partout che si
era procurata con un escamotage degno di una femme fatale da film noir. Scegliendo dal menu à la carte, ordina del camemberte, del pâte de foie gras e la specialità dello chef, un trionfo di escargots su un letto di cordons ricoperto da chantilly .Henriette
si abbuffa soddisfatta, senza preoccuparsi della silhouette, e giunta a casa trascorre
la serata davanti alla tv gustandosi un frappé in una comoda salopette. Guarda una réclame,
un drammatico reportage, un vecchio classico d'essai e, sdraiata sulla moquette, si dedica
al découpage, al bricolage e fa anche un collage, ritagliando brochures e dépliants .
Terminato
il film d'essai, indossa un négligé e con la sua mise molto chic e un po' osée, spegne
l'abat-jour, senza perdere il bon ton . C'est la vie Henriette, cadere nei clichés per sfuggire alla routine.
Come ogni mattina, al dolce suono del carillon , Henriette si sveglia e accende l' abat-jour,
apre la finestra che dà sul parterre, si infila il bustier, le culotte, i collants e si lega i capelli
in uno chignon , con un foulard.
Per non restare in déshabillé , sopra la lingerie indossa untailleur beige e in una nuvola di eau de toilette sceglie tra i bijoux una parure con collier, che le mette in risalto il décolleté. Dopo aver dato il gourmet al suo bichon frisé , Henriette tira fuori dal garage la coupé- cabriolet , per recarsi alla boutique di una griffeà la page, quando en passant, uno strano déjà-vu , le fa imboccare un cul de sac. Arrivata alla boutique , Henriette compra un tutu di tulle con paillettes e inserti in lamé , e fa colazione con dei beignets , un croissant e una crêpe , prima di recarsi a uno spettacolo di ballo burlesque e cabaret. Si prepara all'ouverture indossando il tutu, e di fronte al pubblico si esibisce in una révérence , un plié e un arabesque, mah mon dieu! Henriette non ha il physique du rôle per essere un' étoile, e la sua première diventa un exploit di gaffe. Per riprendersi dalla bruciante défaillance come soubrette, Henriette si concede un pranzo in un bistrot, dove mangia una baguette, delle omelettes al gratin con champignons flambés e per dessert, un profiterole e della crème brûlée, accompagnata da una flûte di champagne, offerta da un sommelier col papillon. Sfoggiando charme e nonchalance , Henriette si allontana senza pagare il conto con lo spirito da vera bohémienne . Si reca quindi allo chalet, dove con il suo savoir faire esercita la professione di cocotte, e il concierge la accompagna in una suite, per un rendez-vous con un noto viveur con il toupet, amante di bondage, che le propone un ménage à trois con un clochard. Ma il povero clochard non può permettersi il cachet di Henriette, e si deve accontentare di toglierle una guêpière, prima di fare ritorno alla roulotte senza aver soddisfatto le proprie fantasie di voyeur. Dopo il tour de force con il viveur, Henriette porta i soldi nel caveau, e fa tappa in palestra per cyclette e tapis roulant. Indossa una camicia di chiffon con volant, una longuette bordeauxà pois con plissé , e sceglie una pochette in pendant con la longuette, per prapararsi a un tête-à-tête con un gigolo, con cui ha un affaire. Lui, astuto tombeur de femmes, che lavora come croupier alla roulette del casino, d'emblée, le dà forfait. Per superare l'ennesima débacle, Henriette, fa visita al vernissage di un atelier, dove ammira i quadri in trompe l'œil , dipinti en plein air, si concede una manucure, e indossato un gilet di lapin, si reca a una degustazione di nouvelle cuisine, dove riesce a entrare grazie a un passe-partout che si era procurata con un escamotage degno di una femme fatale da film noir. Scegliendo dal menu à la carte, ordina del camembert, del pâté de foie gras e la specialità dello chef, un trionfo di escargots su un letto di cordon bleu ricoperto da crème chantilly. Henriette si abbuffa soddisfatta, senza preoccuparsi della silhouette, e giunta a casa, trascorre la serata davanti alla tv gustandosi un frappé in una comoda salopette. Guarda una réclame, un drammatico reportage, un vecchio classico d'essai e, sdraiata sulla moquette, si dedica al découpage, al bricolage e fa anche un collage, ritagliando brochure e dépliant . Terminato il film d'essai, indossa un négligé e con la sua mise molto chic e un po' osée, spegne l'abat-jour, senza perdere il bon ton. C'est la vie Henriette, cadere nei clichés per sfuggire alla routine. Matilde Muschetti